Victor Sanchez, Coordonnateur, achats et logistique
Être sur son X, 5662 fois plutôt qu’une
NB : cette série de rencontres met en relief la diversité des membres de la communauté de l’IRCM, la variété des expertises et la profondeur de leur engagement dans leurs rôles respectifs.
Devant l’écran de son ordinateur, dans son bureau ordonné au mobilier épuré, Victor Sanchez, le sourire affable, mais la concentration optimale, fait penser à un contrôleur aérien. Sous ses yeux, les chiffres défilent. Il les garde à l’œil, cinq jours par semaine, parfois plus.
Car, en tant que coordonnateur, achats et logistique pour l’IRCM, Victor Sanchez gère et ordonne tout ce qui entre et ce qui sort des murs de l’Institut. Matériel de laboratoire et de plateaux, commandes destinées à l’administration, denrées pour la cafétéria, et plus... Un rôle important pour une institution qui concentre plus de 30 laboratoires, en plus de la clinique et de toutes les infrastructures qui soutiennent ces activités.
L’année fiscale n’est pas encore terminée, mais nous en sommes déjà à 5662 commandes. On parle d’un volume d’environ 26 commandes par jour, au bas mot.
Des commandes qui nécessitent des suivis serrés et méticuleux, souvent accompagnés d’un travail d’interaction avec les autorités des douanes.
Nous faisons venir pas mal de matériel de l’étranger, et parfois, les douanes ont des questions. Il y a donc des formalités détaillées à effectuer. Le matin, je vérifie le tableau des commandes, puis la journée part.
Une journée bien remplie; mais loin de s’en plaindre, Victor se réjouit au contraire de pouvoir collaborer avec une multitude de personnes de l’IRCM, et au premier chef, avec les laboratoires. On le sent, Victor est sur son X.
Relevant de Benoit Papineau, directeur des finances, Victor travaille aujourd’hui avec deux personnes qui l’appuient dans sa tâche. À l’IRCM depuis trois ans, il souligne combien l’Institut lui a permis de grandir.
C’est un milieu où les gens sont très ouverts et sympathiques. Vraiment, depuis que je suis arrivé au Canada, pour moi, ici, c’est le meilleur!
Il faut dire que la gentillesse, cela se joue à deux. Et ce titulaire d’un bac en ingénierie industrielle et d’un MBA obtenu en Californie offre lui-même à ses collègues une attention aussi amicale que compétente. Lui qui a œuvré dix ans chez Volkswagen, puis chez Bombardier, a su comprendre l’ADN si unique de l’IRCM et s’y faire sa place, comme au sein d’une famille élargie dont il est un membre précieux et apprécié.
Merci, Victor, d’être un interlocuteur à l’écoute et efficace!
